Chez marcel, à Arlon, les guitares et la basse font comparaître 50 ans de musique saturée devant un tribunal révolutionnaire : rock’n’roll, post-punk, punk-rock, grunge, noise, indie, tout ça défile joyeusement devant la barre, dans le désordre le plus complet. La voix ressuscite le Sprechgesang de Brecht et la chanson dadaïste du Cabaret Voltaire, tel un monsieur Loyal qui aurait fait ses armes au CBGB tout en gardant la nostalgie des paysages de Lorraine belge. Et ça fait des gros gouzis gouzis gouzis gouzis gouzis…